En virant de bord,emmenez-moi au bout de la terre,emmenez-moi au pays des merveilles,il me semble que la Misère serait moins pénible au soleil,dans les bars à la tombée du jour,avec les marins,quand on parle de Filles et d'amour,un verre à la main,je perds la notion des choses,et,soudain,ma pensée m'enlève et me Dépose un merveilleux été sur la grève,où je vois tendant les bras,l'amour qui,comme un fou,court au devant De moi et je me pends au cou de mon rêve,quand les bars ferment,que les marins rejoignent leur bord,moi,je Rêve encore jusqu'au matin,debout sur le port,emmenez-moi au bout de la terre,emmenez-moi au pays des Merveilles,il me semble que la misère serait moins pénible au soleil,un beau jour sur un rafiot craquant de la Coque au pont,pour partir,je travaillerais dans la soute à charbon,prenant la route qui mène à mes rêves D'enfant sur des îles lointaines où rien n'est important que de vivre,où les filles alanguies vous ravissent le C½ur,en tressant,m'a-t-on dit,de ces colliers de fleurs qui enivrent,je fuirais laissant là mon passé,sans aucun Remord,sans bagage et le c½ur libéré,en chantant très fort,emmenez-moi au bout de la terre,emmenez-moi Au pays des merveilles,il me semble que la misère serait moins pénible au soleil,emmenez-moi au bout de la Terre,emmenez-moi au pays des merveilles,il me semble que la misère serait moins pénible au soleil,aaah....
Partage